mercredi 4 avril 2018

Vivre : éternel dilemme


Installation 2017 / Louisiana Museum / Danemark

Dad des villes et Dad des champs,
je ressens de la tendresse pour la campagne et son apaisement.
J'aime cette terre, sa faune, sa flore, ses enfants.
Cependant, si je restais au village en mode permanent, 
les conformismes en tous genres finiraient par m’étouffer.
Quel besoin a donc le genre humain de vouloir tout contrôler ?

Ainsi la ville, ses espaces, ses reflets m’appellent constamment
Mais... comment survivre dans ces rues où le ciel est pris en étau ?
Où le ciel s'étiole, où le ciel pleure ses oiseaux ?
Je papillonne donc. Je vais je reviens je repars.
J'ai besoin du beurre et de l’argent du beurre.
Mon bien-être s'enracine dans l'ici et dans l'ailleurs.

2 commentaires:

  1. Coucou ma chère. La photo, TOP! Elle plairait à mon prof!
    Quant à la campagne et à la ville, je préfère la montagne. (je sais, je suis pénible!). Mais ce que je pense, c'est que chaque endroit a quelque chose de précieux. Ici ou ailleurs. Bises alpines et belle fin de journée.

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  2. Pourquoi donc "pénible"? L'essentiel est de trouver le lieu où l'on se sent bien. tiens, tout à coup, je repense à cette tirade de Bébel dans 'A bout de souffle' en 1960 : "Si vous n’aimez pas la mer... Si vous n’aimez pas la montagne... Si vous n’aimez pas la ville : allez vous faire foutre !" Tu connais ? elle me fait toujours rire, c'est vrai que le pire, ce sont les gens qui ne sont jamais bien nulle part. A part ça, ici, la journée avait très très bien commencé, mais, je lève la tête et c'est...l'orage... le paysage a carrément fondu... Belle fin de journée quand même! D.

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