jeudi 5 octobre 2017

Voyager : maîtriser le code


Centro storico / Bari

Attention au code de la route des Italiens : il arrive que le feu rouge ne s’éteigne jamais et qu’apparaisse simultanément la flèche verte ! Attention aussi aux ronds-points, où les cédez-le-passage sont rarement respectés (malgré la présence de panneaux) et la priorité de droite encore de mise ! Par ailleurs, la conduite italienne reste plus nerveuse que la nôtre (mais c’est surtout valable pour les très grandes villes où il vaut mieux avoir les nerfs solides), les distances de sécurité ne sont guère respectées, et le stationnement en double file est encore fréquent, tout comme se faire dépasser par la droite. 
Le guide du Routard / Italie du Sud / édition 2012

En fait, c’est extrêmement simple : il suffit d’oublier tout ce qu’on croit savoir sur les priorités, sur les panneaux de signalisation, ainsi que sur les significations des feux vert, rouge et orange. Il suffit de prendre garde à ce qui se passe devant soi,  de même qu'à gauche et à droite, ainsi que d’avoir toujours l’œil sur le rétroviseur. Il est indispensable aussi d’ignorer les immanquables coups de klaxon ET de veiller à ne pas pénétrer dans la zone ZTL des centres historiques (une étourderie qui peut se révéler très coûteuse). Quant aux limitations de vitesse, il est sage d’adopter une vitesse intermédiaire entre celle pratiquée par les véhicules sur la chaussée et celle indiquée sur les panneaux au bord de celle-ci. Dès lors… tout se passe parfaitement bien !

2 commentaires:

  1. C'est ubuesque !
    Je crois que je vais y aller en train, tout compte fait... ;-)
    ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. Ah ah ha! Mais non, je te déconseillerais pour ma part le train. Le réseau ferroviaire étatique est en pleine crise en Italie. A part les trains à grande vitesse, qui desservent les principales villes, le réseau est en train d'être démantelé, peu à peu, dans les provinces et les campagnes. Cela à la faveur des lignes d'autobus privés, à la faveur des voitures. C'est malheureux, comme phénomène. Je crois qu'il n'y a rien de plus triste qu'une gare abandonnée en pleine campagne et qui voit, si tout va bien passer deux trains par jour. si tu veux découvrir des régions, de petites villes charmantes, des coins originaux, je te conseillerais plutôt la voiture, avec un/e coéquipier/ère bien présent à tes côtés et qui prendra par moments le relais. Belle après-midi, Célestine! D.

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