mardi 4 avril 2017

Vivre : une bouteille à la mer


Un coin de rue à Bologne / 2015

Sur le départ, ma valise dans le coffre, je reçois un message de Mado.
Un SOS en forme de SMS.
(je ne connais que trop, hélas, le bourbier dans lequel elle doit aller gagner sa vie.
Si Dante l’avait connu, il aurait à coup sûr rajouté un dixième cercle à son enfer)
Que lui écrire, à ma merveilleuse, en attendant notre prochaine rencontre ?
Que cette bande de bachi-bouzouks ne les méritent pas, elle et sa droiture ?
J'aimerais la consoler. En dix mots, pas davantage. Je tape : 

Lumineuse, ne laisse pas les éteignoirs avoir prise sur toi.

Un smile tombe en retour.
Je me dirige vers  mes prochaines aventures.

3 commentaires:

  1. Coucou Dad. Je voulais passer plus tôt dans la journée mais j'ai aussi eu à faire à des bachi-bouzouks qui m'ont laminée...et malmenée. Je peine à comprendre comment certains arrivent à accéder à des postes à responsabilités alors qu'ils ne sont que des cloportes ambulants et des ectoplasmes raplaplat. (je suis énervée...). Mais j'aime ton post et surtout ce petit dessin sur ce mur. Non, ne nous laissons pas éteindre par... de sombres crétins. ;-)

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  2. De tout coeur je plussoie à ce que dit Dédé.
    Ne doute jamais de ta lumière, me dit parfois un ami cher quand je sombre...
    ¸¸.•*¨*• ☆

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  3. De plus en plus de gens souffrent du travail et de ses incohérences. Ces souffrances s'ajoutent aux autres aléas de la vie. Parfois, ça fait vraiment, vraiment beaucoup. Pour faire face, il a raison ton ami, Célestine, ne pas douter de sa lumière. Quant toi, Dédé, courage! tu as droit à toute ma compréhension. Dans certains cas, ce sont des médiocres ambitieux qui accèdent aux responsabilités et ils y font de sacrés ravages. Bon mercredi à toutes les deux! d.

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